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mardi 17 mars 2009,


Sot que j’étais, je t’ai aimé
Au coin de tes lèvres, que voyais-je perler ?
De l’opium, et j’aurais voulu ne pouvoir m’en passer
Amour déçu, et pourtant,
Sot que j’étais, je continuai de t’aimer
Bien mal m’en pris, et le désespoir m’envahi
Je continuai d’y croire, mais quel faible espoir
Un amour de plusieurs ans, ne pars pas en soufflant
Bientôt, le chagrin s’en va, là lucidité est là
Si sot que je fus, comment ai-je pu t’aimer ?
Ce n’est pas de l’opium à tes lèvres, c’est de la cigüe
Et elle ne perle pas, loin de là.
Elle coule.

20:55

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